D’après une étude du Big Shave Club, en France, 92% des hommes de 25 à 34 ans ont une barbe. Selon l’enquête, les plus âgés (tout est relatif, il s’agit des 35 ans et plus) préfèrent à 53% le rasage de près, un chiffre qui grimpe à 60% chez les plus de 50 ans.
La barbe et ses aspects sociologiques
Le président Emmanuel Macron, dans son élan de mise en avant de la « start-up nation », s’était essayé il y a quelques années à la pilosité faciale assumée, avant de l’abandonner au nez et à la barbe de ses conseillers mode (s’il en a…).
Sociologiquement, la barbe ne serait plus l’apanage de la vieillesse, mais celle des entrepreneurs qui osent, les « startuppers ».
Toujours selon cette étude, la barbe serait plus portée au Sud qu’au Nord du pays, et beaucoup plus chez les CSP+ que dans les catégories socio-professionnelles moins aisées.
Enfin, 41% des femmes interrogées dans l’enquête trouvent que la barbe les rase. Elles la considèrent souvent comme une preuve de négligence, voire d’un manque d’hygiène. Par la barbe de Merlin, comment est-ce possible ?